31.5.06

Audio, declaraciones de alerta roja del Sucomandante MACOS respecto a ATENCO



Comunicados de la comisión Sexta e intergaláctica del EZLN

Esta es la liga
http://chiapas.indymedia.org/local/webcast/uploads/marcostlatelolco.mp3

L'oeil des zapatistes



Nous connaissons des luttes du Chiapas, l’EZLN et son emblématique délégué Zéro, le sous-commandant Marcos, la Rencontre intergalactique « pour l’humanité et contre le néolibéralisme » ou, encore plus récemment, la marche sur Mexico, ainsi que l’Autre Campagne. En revanche, nous connaissons moins la quête d’autonomie exemplaire qui caractérise les luttes zapatistes. Celle-ci s’incarne à travers des pratiques quotidiennes qui concernent la terre, l’eau, l’éducation, la santé, la culture.

L’histoire d’une lutte est rarement racontée par ceux-là mêmes qui la vivent et la portent. L’œil des zapatistes, programme de films communautaires réalisés par des membres des communautés zapatistes au sein d’une pratique vidéo collective engageant les communautés. Ils donnent à entendre la parole de ceux qui ne l’ont jamais, ils donnent à voir des réalités quotidiennes bien éloignées de la représentation médiatique classique.

AVANT-PREMIÈRE mardi 30 mai à 20 heures à l’Espace Saint-Michel (7, place Saint-Michel – 75005 Paris – métro Saint-Michel) en présence de Carmen Castillo, coréalisatrice de La Véridique Légende du sous-commandant Marcos, 1994.

Une délégation de PROMEDIOS sera en France en tournée du 25 mai au 28 juin pour d’éventuelles interviews. Sortie nationale le 31 mai.

L’Œil des zapatistes est constitué de 5 courts/moyens métrages.

Synopsis des films :

AUTONOMIE

1 – LA TERRE SACRÉE – Mexique 2000. 18 min 30 s. Langues originales : tzeltal et espagnol. Production : Municipio Autónomo « 17 de Noviembre », Caracol IV.

  • Ce film propose un récit original de l’exploitation des terres et de ses habitants originels par les grands propriétaires du Chiapas. Il donne à voir comment les peuples mayas se sont organisés contre cette oppression depuis des siècles, mais il présente aussi leurs luttes pour récupérer leurs droits et les terres qui leur ont été violemment arrachés.

2 – LA LUTTE POUR L’EAU – Mexique 2003. 14 min. Langues originales : tzeltal et espagnol. Production : Municipio Autónomo « 17 de Noviembre », Caracol IV.

  • Un grand nombre de communautés indiennes du Chiapas n’ont pas accès à l’eau potable. C’est le très sérieux sujet du film « La Lutte pour l’eau » qui nous montre les solutions communautaires mises en place par les zapatistes dans ce domaine. Avec le soutien et la formation apportés par des personnes solidaires, beaucoup de communautés se construisent leurs propres systèmes d’eau potable. Des membres de ces communautés évoquent l’intégration de ces projets dans leurs luttes pour l’autonomie. C’est aussi l’occasion d’évoquer les améliorations en matière sanitaire et de présenter les réflexions autour de la préservation des retenues d’eau. Ce film permet d’étendre la dimension de cette forme de résistance active à celle, plus globale, du refus des « mégaprojets » de développement comme celui du Plan Puebla-Panama.

RÉSISTANCE

3 – VIVA LA VIDA, 1er janvier 2003 à San Cristóbal de las Casas – Mexique 2003. 10 min. Langue originale : espagnol. Production : Promedios A.C., Indymedia Chiapas, Canoa.

  • La prise militaire de San Cristóbal de Las Casas en 1994 est une date phare de la symbolique zapatiste. Neuf ans après, le 1er janvier 2003, ils rappellent leur présence en reprenant possession pacifiquement de la ville pour y célébrer la nouvelle année et affirmer leur lutte pour la vie dans une ambiance festive. « 40 000 indigènes la machette levée » annonceront les journaux mexicains. Une épine dans la botte du président Fox, qui ne cesse d’annoncer que la guerre au Chiapas est terminée.

4 – LA TERRE EST À CEUX QUI LA TRAVAILLENT – Mexique 2004. 15 min. Caracol V.

  • Ce film traite de la situation dans la ville de Bolon Aja’aw, situé dans le nord de l’État du Chiapas en bordure de la rivière Agua Sul. Le gouvernement fédéral a vendu la terre de Bolon Aja’aw à des compagnies privées afin que ces dernières construisent des centres d’écotourisme sans l’autorisation des membres de la communauté. Le film présente une rencontre entre les autorités zapatistes et les fonctionnaires gouvernementaux mexicains et offre un point de vue critique sur les conséquences réelles et pratiques du prétendu écotourisme.

5 – UN LONG TRAIN QUI S’APPELLE L’AUTRE CAMPAGNE – Mexique 2006. 42 min. Langues originales : tzeltal et espagnol. Caracoles.

  • Chiapas. Été 2005, l’EZLN déclare l’alerte rouge et organise une grande consultation des bases d’appui aboutissant à la Sixième Déclaration de la forêt Lacandone. Point de départ d’une volonté de rencontre et d’échanges dans un travail commun : créer un espace de discussion hors et contre les campagnes politiques menées par les aspirants à l’élection présidentielle. Caravane à la forme évolutive, dont le quotidien est écrit par l’échange de ceux situés en bas à gauche et relayé par eux-mêmes. Pour mieux comprendre ces événements politiques majeurs dans l’histoire du pays, les communautés « bases d’appui » nous livrent à travers ce film une sélection des discussions préparatoires et des premières étapes de ce long train dont le premier voyage va traverser tous les États du Mexique jusqu’au mois de juin 2006 pour être relayée dès septembre.

Source:
http://cspcl.ouvaton.org/article.php3?id_article=309

Se estrena una serie cortos y medio metrajes zapatistas en Paris



La mirada de los Zapatistas.

Se trata de 5 cortos/medio metrajes. Organizados respecto al tema que tratan.

AUTONOMIA

  1. LA TIERRA SAGRADA – México 2000. 18 mins. 30 segs. Lenguas originales: Tzeltal y español. Producción: Municipio Autónomo "17 de Noviembre", Caracol IV.
  2. LA LUCHA POR EL AGUA – México 2003. 14 mins. Lenguas originales: Tzeltal y español. Producción: Municipio Autónomo "17 de Noviembre", Caracol IV.

RESISTENCIA

  1. VIVA LA VIDA, 1ero. de Enero del 2003 en San Cristóbal de las de las Casas – México 2003. 10 mins. Lengua original: Español. Producción: Promedios A.C., Indymedia Chiapas, Canoa.
  2. LA TIERRA ES PARA QUIEN LA TRABAJA – México 2004. 15 mins. Caracol V.
  3. UN GRAN TREN LLAMADO LA OTRA CAMPAÑA – México 2006. 42 mins. Lenguas originales: Tzeltal y Español. Caracoles.

Espero tener más información sobre su distribución en México para aquellos que tengan interés en verla en nuestro país.

Se estrena entonces hoy en París.

30.5.06

Mensaje de AMLO en cadena nacional


Hoy, 30 de Mayo del 2006, a las 21 hrs en cadena nacional, mensaje de Andrés Manuel López Obrador dirigido a las personas que ganan menos de 9 mil pesos.

Solo dura 1 minuto. Al menos tiene la decencia de reconocer que cuesta super caro, no como los otros candidatos que gastan millonadas.

Dio una entrevista a Carmen Aristegui esta mañana. Quien quiera escuchar el audio, solo tiene que pedirmelo, lo tengo que WAV.

En la UNAM, las preferencias son por López Obrador


En la UNAM, las preferencias son por López Obrador

Emir Olivares Alonso

Las preferencias electorales de un sector de la Universidad Nacional Autónoma de México se inclinan por el candidato de la coalición Por el Bien de Todos, Andrés Manuel López Obrador, demuestran los resultados del simulacro electoral 2006 realizado el jueves pasado en 20 de las 36 escuelas y facultades de la máxima casa de estudios. El comité organizador de esta votación interna -conformado por estudiantes y académicos- informó que López Obrador aventaja por tres a uno al abanderado panista, Felipe Calderón, en la intención de voto en la universidad. En este ejercicio participaron más de 14 mil 797 universitarios, y el perredista obtuvo 59.9 por ciento de las preferencias, lo cual representó 8 mil 754 de los votos del simulacro. El candidato del PAN logró 2 mil 792 sufragios, que representaron 18.9 por ciento. Patricia Mercado, de Alternativa Socialdemócrata y Campesina, ocupó el tercer sitio. El cuarto lugar fue para el candidato de la Alianza por México, Roberto Madrazo, quien obtuvo 5.4 por ciento...

29.5.06

Cannes, Campesino de 82 años, gana mejor actor en la categoría "Certain Regard"


CANNES, Francia - El músico mexicano Angel Tavira, protagonista de la cinta "El Violín", fue elegido el sábado como el mejor actor en la categoría "Un Certain Regard (Una Mirada Peculiar) del Festival de Cine de Cannes.

Tavira, un músico campesino de 82 años, no tenía experiencia actoral hasta "El Violín", del director mexicano Francisco Vargas. El cineasta ya había realizado un documental sobre el ahora galardonado, quien en el filme encarna a Don Plutarco, un violinista que gracias a su arte sobrevive a la crueldad de una guerra intestina.

En el momento del anuncio del premio, al anochecer en Cannes, Tavira volaba de regreso desde París a México tras asistir a la presentación de "El Violín" el miércoles.

"Estoy muy contento... es padre (muy bueno) el reconocimiento al mejor intérprete", dijo Vargas en diálogo telefónico con la AP.

"Es un tipo que durante toda su vida ha luchado por manterla (la música campesina), enseñando a nuevas generaciones; sigue luchando, aún sin una mano", señaló Vargas con relación al actor octogenario, que pese a acusar una severa lesión en la mano derecha toca el violín con gran habilidad.

Consultado si, a raíz de su falta de experiencia y formación actoral, el trabajo de dirección a Tavira fue difícil, Vargas respondió: "Es otra forma de acercarse a la interpretación de un papel, no es de una forma ortodoxa, tradicional... es músico, tiene madera de artista".

"El Violín" también compitió por el premio a la mejor película de "Un Certain Regard", la segunda categoría más importante del célebre Festival de Cannes, que este año celebró su edición número 59.

Aunque la cinta no recibió el trofeo, Vargas sigue entre los candidatos a ganar el premio al mejor director de una opera prima, que se entregará el domingo.

En el 2004, Vargas rodó sobre la vida de Tavira el documental "Tierras Calientes, se mueren los que la mueven", en alusión a la localidad de donde es oriundo el violinista, en el estado mexicano de Guerrero.

El premio a la mejor película en la categoría fue otorgado a "Luxury Car (Auto de Lujo)", del chino Wang Chao, en tanto que el destinado a la mejor actriz fue a las manos de Dorothea Petre, protagonista del filme rumano "Cómo pasé el fin del mundo", de la directora Catalin Mitulescu.

México - Grafico


El subcomandante Marcos viajó ayer en Metro de la estación Hidalgo a la Merced, donde se reunió con adherentes a la otra campaña Foto Víctor Camacho



Guadalajara, Sede de los Panamericanos 2011


BUENOS AIRES.- Guadalajara será la sede de los Juegos Panamericanos 2011. Así lo decidió ayer, por absoluta unanimidad la asamblea general de la Organización Deportiva Panamericana (ODEPA) que preside Mario Vázquez Raña, que fue coronada con aplausos y con largos festejos por parte de la delegación tapatía, liderada por el gobernador Francisco Javier Ramírez Acuña.

Al cierre de la segunda jornada de la asamblea y después de una completa presentación del anteproyecto de sede, la capital tapatía, se comprometió en los próximos 64 meses a "organizar los mejores juegos panamericanos de la Historia", explicó Ramírez en una exposición en la que estuvo acompañado por el presidente municipal de la ciudad de Guadalajara, Ernesto Espinoza Guarro, el secretario de Deportes del estado de Jalisco, Carlos Andrada, y el presidente del Comité Organizador, Procede, Álvaro Preciado, quien mostró las maquetas de lo que será la Villa Panamericana.

"¿Quieren ustedes que Guadalajara organice y realice los Juegos Panamericanos del 2011?", fue la pregunta que Vázquez Raña, le hizo a la asamblea que votó con un estruendoso aplauso.

En ese momento, La algarabía ganó al gobernador y la comitiva y un conjunto de mariachis, ingresó al amplio salón del Hotel Panamericano, al canto de "Jalisco no te rajes", sorprendiendo a todos los representantes olímpicos, incluido el presidente del Comité Olímpico Internacional (COI), Jacques Rogge, quien celebró la designación de Guadalajara "porque fue una presentación excelente como proyecto, muy profesional, y además sabemos que México tiene capacidad y experiencia para la organización de este tipo de eventos, como los Juegos del 68, y los mundiales de Futbol del 70 y el 86", dijo el líder olímpico a EL UNIVERSAL.

Por su parte, Vázquez Raña, admitió su alegría pero dijo que "a pesar de que no había otra candidatura le exigí a Guadalajara mucho más, como si hubiese varios candidatos".

Si bien se especulaba con que Miami podría presentar una candidatura, eso no ocurrió y el representante de Perú, Carlos Paz, al felicitar a los tapatíos recordó que "nosotros quisimos presentarnos pero cuando sabíamos que estaba Guadalajara, desistimos".

En declaraciones a EL UNIVERSAL el gobernador Ramírez, dijo que "estamos muy contentos porque cumplimos el sueño de todo el pueblo jaliscience. Ahora nos vamos con este compromiso y con la responsabilidad de trabajar".

Minutos después, los festejos de la delegación tapatía continuaron al ritmo de los mariachis en uno de los salones del hotel y en la cena de despedida con la que Mario y Paquita Vázquez Raña, ofrecieron para todos los asistentes a la asamblea en el Hotel Alvear de Buenos Aires, de la que participó el Presidente y Director General de El UNIVERSAL de México, Licenciado Juan Francisco Ealy Ortiz.

Así, Guadalajara se llevó de Buenos Aires y de la ODEPA, lo que tanto buscó a lo largo de una década. Ser sede de los Panamericanos del 2011, después de Río de Janeiro 2007.

28.5.06

Un poquito de Gael Garcia Bernal


Chequense esto:

Carta de Gael García Bernal

Mexico, D.F. a 29 de Abril del 2006

A mis hermanos mexicanos, a quien lo lea, a quien corresponda:

En las recientes semanas ha aparecido mi nombre en los desplegados de algunos diarios y correos enviados via internet, donde se me incluye apoyando a la campaña de Felipe Calderón Hinojosa (Candidato de Acción Nacional). He querido desmentir esta información pues desde hace tiempo he hecho patente mi preferencia por las ideologías que dan preferencia al bienestar social, sobre todo el de los que menos tienen, y que privilegian el desarrollo sustentable de los energéticos, el medio ambiente y la economía; sin permitir que la iniciativa privada corrupta, que reconozco no son la mayoria, tenga privilegios como ha sucedido al menos en los últimos tres sexenios en nuestro pais, México.

Creo que ninguno de estas políticas se encuentran en las propuestas del candidato panista, me parece que la continuidad es lo que propone; a su vez no nos dice nada a los ciudadanos sobre temas de interes para muchos, como son el derecho a decidir de la mujer a tener un hijo o no, las uniones entre personas del mismo genero que les permitira compartir algunos derechos como es la seguridad social. Mucho menos avalo sus propuestas de prohibir la venta del la pílldora del dia siguiente, ademas de apoyar el que se impartan clases de catequismo en las escuelas publicas y darle un canal de television abierta a la Iglesia, pues los considero retrocesos que nuestro país no puede permitirse.

Es por estos motivos que mi preferencia esta con la Izquierda Mexicana, me considero bigamo estoy con las dos opciones, la propuesta de las organizaciones indigenas y campesinas que se representan en el movimiento Zapatista y la otra campaña, pues creo que el futuro de Mexico no se puede desentender de ellos; pero en el corto plazo creo tambien en la izquierda que representa la Alianza por el bien de todos y su candidato Andres Manuel Lopez Obrador, que pese a padecer los defectos típicos de la clase política, merecen la oportunidad de probarse por primera vez en la historia como gobierno, tener temor a lo cambios no esta mal lo malo es que este temor nos supere y nos impida avanzar.

Sugiero que tomemos nuestra responsabilidad civil de vigilar y cuestionar al gobierno que nos toque sin importar sus tendencias ideológicas, Diego Luna y yo nos encontramos desde hace un mes y semanas realizando una cruzada por el territorio nacional, filmando una serie de documentales a los que llamaremos "Ambulante" donde abordamos la necesidad de un cine que te haga pensar, que te invite al diálogo y a la confrontación de ideas, no creo que eso sea suficiente para cambiar a nuestro pais, pero nunca hay que dejar de poner nuestro granito de arena. Nuestro trabajo nació aquí, vivimos aquí. La razón por la que estamos aquí es porque nosotros queremos ir al cine y ver este tipo de películas, antes de decidir su voto o aun si ya lo decidieron, no dejen de ver todas las propuestas alternativas que ciudadanos valientes estan realizando como el documental de Luis Mandoki por ejemplo. Que independientemente de su ideologia politica es una plataforma que va a generar un movimiento para una causa que nos parece justa, creo que es mejor hacer una campaña para eso, que prestar nuestra imagen para que vendan tortillas o el nuevo shampoo anticaspa, por que pese a lo visto en los ultimos 6 años, la politica no es un producto de marketing, que se pueda vender o comerciar, la politica pertenece a todos, no la dejemos en manos de los politicos o peor aun en manos de los empresarios, esos que por definición buscan primero su lucro personal.

Yo no te pido que votes por mi candidato, incluso no te pido que votes, si decides anular tu voto o incluso no ir a la casilla no te podras escapar de participar, pero cualquier accion que tomes no justifica el que te desentiendas de lo que pasa en nuestra tierra, lee, escucha radio, no veas tanta television, viaja, conoce, cultivate; solo asi entenderas cuantos Méxicos habemos, cuantas formas distintas de pensar existen, solo concociendolas podremos integrarnos como el gran país que todos queremos.

Gael García Bernal

*

¿Como la ven? No anda mal el morrillo ¿no?

Y de regalo:

Gana Iñarritu el premio de mejor Dirección (Mise en scène)



En Cannes ganó el premio de mejor dirección don Alejandro G. Iñarritu, bien por él. Lástima que en Francia se estrena hasta Octubre y en México ni idea.
Gran decepción del premio de mejores actrices las de Volver de Almodóvar que para mí, nada que ver, no tengo la menor duda que habría mejores en otras peliculas. Y el mejor guión para el Manchego, bueno!!! Pues si eso es escribir bien!!! En fin a mi se me hizo una pelicula medio dominguera, pero de eso a que el guión es de lo mejor, pues lo dudo!! Ah qué jurado!!

En fin, ya veremos la de Ken Loach que se llevó en premio mayor.

Y de la seleccion de fut, qué decir!! De plano es pura pasión, pero con la arrogancia de los franceses que dijeron que era el marcador qué habian planeado!! Oralesssss!!! Pues que machines si ya se las saben de todas todas, al menos México nunca ha sido bueno ni campeón, pues ya sería el colmo que los campeones del 98 empataran!! Bueno pues mejor me quédo con las luchas!!!!

Luuuuuuuucharan Por el campeonato 2006-2012 ...a dos de tres sin limite de tiempo...

Es esta esquina Andrés Manuel López Obrador "Eeeeeeeeel Peje" y en esta otra Felipe Calderón Hinojosa el "Chachalaco II" .....

27.5.06

Otra pelicula mexicana en Cannes, de Guillermo del Toro

Hoy se presenta en Cannes una película de mi paisana, Guillermo del Toro (1964, Guadalajara, Jalisco, MEX). La pelicula que se presenta hoy es "El Laberinto del Fauno". Esperemos que le vaya bien, no sé cuando se estrena en Francia.

Datos adicionales:

Guillermo del Toro competirá en la sección oficial del Festival de Cine de Cannes con “El laberinto del Fauno”

Guillermo del Toro competirá en la sección oficial del Festival de Cine de Cannes con “El laberinto del Fauno”

La nueva producción de Guillermo del Toro, “El laberinto del Fauno”, coproducida por Estudios Picasso y Tequila Gang, ha sido seleccionada para participar en la sección oficial de la 59 edición del Festival Internacional de Cine de Cannes que se celebrará entre el 17 y el 28 de mayo.

La película, que será distribuida en España y Latinoamérica por Warner Bros Pictures, cuenta con un reparto encabezado por Sergi López, Ariadna Gil, Maribel Verdú, Doug Jones, Alex Angulo e Ivana Baquero.

El filme nos sitúa en el año 1944 y cuenta el apasionante viaje de Ofelia, una niña de 13 años que junto a su madre, convaleciente a causa de un avanzado estado de gestación, se traslada hasta un pequeño pueblo, en el que se encuentra destacado Vidal, un cruel capitán del ejército franquista, nuevo marido de Carmen y por el que Ofelia no siente ningún afecto. El capitán vive obsesionado por acabar con los vestigios del ejército republicano que se hayan escondidos en la espesura del bosque. Un bosque donde un fauno, en su laberinto, espera a Ofelia para hacerle una increíble revelación.

En francés:

Guillermo del Toro est spécialiste en effets spéciaux depuis qu’il était à l’école. Il a réalisé son premier film "La invención de Cronos" en 1993. Ce film a été présenté au Festival de Cannes, avec un grand succès. Guillermo del Toro admire les bestioles et insectes, et il les appelle "Des créatures parfaites".Il y a quatre éléments constantes dans ses films: la religion, l’humeur noir, les insectes et les "tiliches" (une sorte de sorcières ou magiciens). Il travaille dans l’adaptation cinématographique de "Hellboy", des dessins animés de Mike Mignola. Il a aussi le projet de réaliser un film sur une histoire d’amour qui se débrouille à l’intérieur d’un magasin de viande, et aussi le film "El Ultimo día de la Creación", une co-production MEXIQUE USA, et une adaptation du roman Le Comte de Montecristo.
2002 En Octobre del Toro a reçu le prix "La Máquina del Tiempo" pendant la 35eme cérémonie du Festival de Cinéma Fantastique Sitges, en Espagne.

Del partido Mexico - Francia

El partido de esta noche

Comme Raymond Domenech, Ricardo Lavolpe a dévoilé l'équipe qui débutera, samedi soir au Stade de France, lors du match amical entre la France et le Mexique. On retrouve bien sûr Rafa Marquez, ancien défenseur de l'AS Monaco et vainqueur de la Ligue des Champions avec le FC Barcelone et l'attaquant Jared Borgetti, meilleur buteur des Eliminatoires toutes confédérations confondues.

Mexique: Sanchez - Osorio, Marquez, Salcido, Castro - Pineda, Pardo, Perez, Morales - Franco, Borgetti

*

SAINT DENIS.- La picardía de Patrick Grossman, un mexicano de 22 años que estudia en Suiza, se impuso a la desesperación de no saber si él y los casi 50 aficionados tricolores que le acompañaban podrían entrar al entrenamiento de la Selección Nacional en Saint Denis.

Como pudo, este estudiante de Ingeniería mecánica logró pasar al estadio, "tomas muchas fotos", le gritó uno de sus amigos desde las rejas.

Unos minutos después, y con Patrick acomodado en las tribunas, todo el grupo de aficionados nacionales tuvo la oportunidad de entrar. Para su mala fortuna, Grossman fue descubierto por la seguridad del inmueble, aunque solamente le pidieron que fuera con el resto del grupo, aún, cuando había pensado que lo sacarían por la pequeña travesura.

Al grito de "México, México." y a la tonada del Cielito Lindo, los seguidores tricolores le dieron vida al entrenamiento de la Selección. Los jugadores, admirados por la fiesta que se armaba en las grises butacas del estadio respondieron con algunos saludos.

Aunque la mayoría de estos jóvenes, estudiantes y residentes en Francia, no lograron encontrar una entrada para el partido de hoy, "la oportunidad de verlos aquí no nos la quita nadie, los que no tenemos boleto veremos el partido en un restaurante mexicano y ahí armaremos otra fiesta", comentó uno de los ruidosos aficionados.

De los más ovacionados fue Guillermo Franco, ya que seis de los afortunados que vieron la práctica son de Monterrey: "Guille, regresa por favor", le pedían al delantero, "Lucho (Pérez), dile que vuelva", agregaban con la garganta rasgada, mientras que el atacante del Villarreal sonreía.

El escándalo sorprendió a la prensa internacional, que no se explicaba cómo era posible que en una práctica previa a un partido amistoso, se creara tal ambiente.

*

Las tristes resultados:

Francia y México jugarán hoy a las 21 horas locales. En las seis veces que se han enfrentado, Francia ganó en cinco ocasiones y México logró empatar en una, en 1966.


Volver, Babel et Marie-Antoinette favoris

3 jours de l’annonce du palmarès, les pronostics vont bon train. Les films Volver, Babel et Marie-Antoinette, malgré son accueil difficile mercredi, composent le tiercé des favoris du Festival… même si personne n’est encore d’accord pour dire lequel de ces films devrait remporter dimanche la Palme d’Or.

Selon un sondage réalisé par l’institut Médiamétrie auprès de 659 festivaliers, Babel du Mexicain Alejandro Gonzalez Inarritu arrive en tête des votes des festivaliers pour la récompense suprême du Festival. Cette production américaine, au casting duquel figurent Brad Pitt, Cate Blanchett et Gael Garcia Bernal, est centrée sur l’incommunicabilité et basée sur l’interdépendance des actions des personnages et leurs conséquences sur la vie des autres, un mécanisme cher au réalisateur de 21 grammes.

Très bien accueilli sur la Croisette, Babel devancerait désormais dans le coeur des festivaliers Volver de Pedro Almodovar, resté longtemps grand favori. Le film du cinéaste espagnol, porté par les interprétations de Penelope Cruz et Carmen Maura, est une véritable déclaration d’amour aux femmes, mais aussi une réflexion sur la place de la mort dans notre société.

La Palme d’or pourrait donc se jouer entre ces deux films hispanophones, à moins que Marie-Antoinette ne vienne troubler ce face à face. Cette biographie de la reine de France sur fond de musique rock signée Sofia Coppola, présentée mercredi sur la Croisette, arrive à la troisième place du classement, malgré un premier accueil hostile en projection de presse.

Babel de Iñarritu - Cannes

Pitt, Blanchett star in Cannes favorite “Babel

By Mike Collett-White

CANNES, France (Reuters) - Brad Pitt and Cate Blanchett star in the powerful new film “Babel,” an examination of linguistic, cultural and personal barriers that sweeps across three continents and tackles terrorism, immigration and suicide.

In competition at the Cannes film festival, the movie by Mexican “21 Grams” director Alejandro Gonzalez Inarritu is seen as one of the favorites for the coveted “Palme d'Or” prize, although there are eight films still to show.

Pitt and Blanchett portray a couple on holiday in Morocco when tragedy strikes, and their story is linked to that of two shepherd boys living in a remote village.

A third narrative takes the audience to the U.S.-Mexican border where a trusted nanny becomes embroiled in a terrifying journey of her own, and in Japan, a deaf and mute girl struggles to get over her mother's death and break down social prejudice.

Inarritu weaves the plots together into a rich cinematic tapestry, where established actors like Pitt, Blanchett, Mexico's Gael Garcia Bernal and Japan's Koji Yakusho appear alongside little known actors from northern Africa.

Misunderstanding and miscommunication appear on every level, between father and son, husband and wife, police and civilians and country to country.

For Inarritu, the main theme of the film was not language. Its title is taken from the Biblical story of people seeking to build a tower to God who are punished by being divided through language.

“For me that (language) is not the problem,” he told a news conference. “Language can be very easy to break.

“For me the problem is the ideas and the preconceptions we have from one to another which really pull us apart. I want this film to be basically about not what separates us but what gets us together.

“We see the other always as a threat. Being different means being dangerous.”

POWER AND ITS ABUSE

While the film was mainly about barriers on a personal level, it sends clear messages about political problems including misunderstandings on the U.S.-Mexican border and those surrounding the issue of religious extremism.

“On the border what is happening is terrible, and the way they try to pretend everybody is a terrorist,” Inarritu said of the United States.

The shooting incident involving the characters played by Pitt and Blanchett is immediately seized upon by the world's media as an attack by Islamic radicals, but the truth is far less sinister if not less tragic for the victim.

Blanchett praised co-star Pitt, who was not in Cannes due to the impending arrival of his child with Angelina Jolie.

An e-mail from him was read out to journalists before the briefing began.

“With the imminent arrival of the newest addition to our family, I am unable to join Alejandro, Cate, Gael and the rest of the cast and crew in introducing the film,” he wrote, adding that he was “tremendously proud” of Babel.

Blanchett's words about working with Pitt were even warmer.

“In terms of working with Brad, it's like chocolate. He's glorious and wonderful and I really wanted to work with him for a long time.”

For many of the actors, the press conference on Tuesday was the first time they had met.

Babel is one of three South American films among the 20 in competition in Cannes this year. The others are “Pan's Labyrinth” by Mexican director Guillermo del Toro and “Cronica De Una Fuga” by Uruguayan director Israel Adrian Caetano.

26.5.06

A otra cosa mariposa!!!

Después de todo este ajetreo con respecto a lo de mi infracción ya no tocaré más el tema, solo para aquellos que me siguen preguntando al respecto, pero seguro que no será nada del otro mundo. Vuelta de página, tilín tilín… como cuando en los audiocuentos veías los dibujitos las frases al pie de la página y con ese sonido había que cambiar de página, bueno así!!

Hoy estaba pensando con respecto a la personalidad de cada uno y su relación con el exterior. Me hacía preguntas sobre quién influye en qué y qué en quien, si es el exterior quien ejerce una acción de dominación sobre nosotros o si nosotros dominamos el exterior. ¿Por qué la pregunta? Porque frente a un mismo problema o situación hay muchas opiniones y cada persona reacciona de manera diferente y otras de maneras similares, hay con quienes uno se siente afin o a quien verdaderamente se puede detestar.

Eso me invitó a sumergirme en el mundo de las coincidencias y complicidades con los otros. ¿Quién no tuvo en la secu a ese alguien con quien no se podían hacer las mismas travesuras ni decir las mismas mentiras que otro compañero de clase?. ¿Quién no tiene ese hermano o hermana con el que puedes pasar horas riendo o debatiendo un tema con cierta complicidad con la que pocos se adentrarían en el tema?

En este especia de diario compartido, cibernético y lo que deKerchove y que otros han llamado la “inteligencia colectiva”, la digital, numérica e informatizada, invito a los que si me leen (y no es reproche para los otros ji ji, pero cada quien con sus relaciones electrónicas) a que sembremos o en su caso cultivemos, múltiples complicidades que nos han acompañado. Y lo digo especialmente por mis amigos de la fac. con quien desde hace tiempo he retomado vínculos. (15 años ya!! Ay nanita!!!)

Y como ya estoy como Cantinflas chatos!! ¿Alguien tendrá en sus tesoros algún disco del cantinflas show para que me lo grabe? Un pequeño pedacito MP3, no me caería nada mal.

Y para cerrar mi pausa vespertina ahí les va algo que seguro muchos recordarán:

Yo no lo sé de cierto...

Yo no lo sé de cierto, pero supongo

que una mujer y un hombre

un día se quieren,

se van quedando solos poco a poco,

algo en su corazón les dice que están solos,

solos sobre la tierra se penetran,

se van matando el uno al otro.


Todo se hace en silencio. Como

se hace la luz dentro del ojo.

El amor une cuerpos.

En silencio se van llenando el uno al otro.

Cualquier día despiertan, sobre brazos;

piensan entonces que lo saben todo.

Se ven desnudos y lo saben todo.

(Yo no lo sé de cierto. Lo supongo.)

Jaime Sabines.

25.5.06

De abogados y codigo penal francés

Pues después de sesudas conversaciones con amigos y abogados, visitas a la delegación (marie) y al tribunal de policía, no voy a tener un abogado de oficio para mi defensa, no es necesario, y ya me leí las infracciones que me imputan y no son tan graves. “Ruido nocturno causado por aparato radiofónico” Hi-fi, que afortunadamente no me confiscaron. Ay estos franceses, no sé cual será mi sanción pero he de reconocer que en estos tres días ya me hacia en el banquillo de los acusados y estaba inquietona, pero ya estoy mejor de vuelta en el ciberespacio.

Mi vecino ya se fue, ahora está en renta el depa y creo que hoy ya llegaran los nuevos vecinos, espero que no sea piiior!!!

22.5.06

El posible monto

Code pénal
art. 623-2 Les bruits ou tapages injurieux ou nocturnes troublant la tranquillité d'autrui sont punis de l'amende prévue pour les contraventions de 3 ème classe (3.000 F ou 450 euros maximum).
Les personnes coupables des contraventions prévues au présent article encourent également la peine complémentaire de confiscation de la chose qui a servi ou était destinée à commettre l'infraction.
Le fait de faciliter sciemment, par aide ou assistance, la préparation ou la consommation des contraventions prévues au présent article est puni des mêmes peines.



http://www.infobruit.org/FR/info//Repression/des/bruits/de/comportement/23/01010400
L’article R. 623-2 du Code pénal (tapage nocturne)
L’article R. 623-2 du Code pénal institue une amende de 3ème classe (450 € au plus) pour réprimer « les bruits ou tapages injurieux ou nocturnes troublant la tranquillité d’autrui ».

Cet article, qui n’a jamais été appliqué de jour, s’applique pour les bruits troublant la tranquillité entre le coucher et le lever du soleil (en principe entre 22h et 7h00) :
la jurisprudence ayant évolué, il suffit que le bruit soit audible d’un appartement à l’autre (et pas seulement depuis la voie publique) ;
conformément aux dispositions du Code de procédure pénale, seuls les officiers et agents de police judiciaire sont habilités à dresser des contraventions ;
le constat se fait sans mesure acoustique ;
la responsabilité d’une personne peut être engagée si celle-ci n’a pris aucune précaution pour faire cesser la nuisance ;
la chose qui a servi ou était destinée à commettre l’infraction peut être confisquée ;
la complicité est également sanctionnée : participation active, mais aussi facilitation (cas d’un débitant de boissons).

Mi infracción

La hoja que me mandaron de tribunales señala que esta es mi infracción:

BRUIT, TAPAGE NOCTURNE TROUBLANT LA TRANQUILLITE D'AUTRUI
BRUITS GENANTS PROVENANT DE L'UTILISATION D'UN POSTE RADIO-TV-CHAINE HI FI

Art. R. 623-2 AL. 1 C. PENAL
Art. R. 632-2 AL. 1, AL. 2 C. PENAL

Alguno tiene idea de cuánto me costará el chistesito?

Problemas con el vecinito

Algunos recordaran mi ¿martes 3 de Enero negro? Creí que ya todo estaba en orden y que la famosa convocatoria a los tribunales de Paris no ocurriría, pues “nein” hoy acabo de saber que debo presentarme con un abogado el día 16 de junio a las 13:30 hrs.

¿Cómo ven? ¿Problema de tolerancia? ¿Extrema intolerancia?.

Para variar lo que a nadie le ocurre, siempre me ocurre a mí.

Sugerencias, comentarios, todos bienvenidos. Tengo tres semanas para prepararme conocer mis derechos, obligaciones, pero en estos tiempos de discriminación y en que los europeos creen que nos queremos quedar en sus tierras pues hay que defenderse hasta con los dientes.

Tengo revuelto el estomago, asco, inquietud, poca calma.

Todo por haber estado con unas amigas riendo, celebrando y además menos de 2 hrs. Me da rabia haber terminado en esta situación y habiéndome topado talvez con uno de esos de extrema derecha francesa incapaz de tocar la puerta y pedir silencio.

Y yo, que nunca he pisado un tribunal en México, yo aquí en uno, aprovecharé pues para mirar sus obras de arte y la arquitectura del edificio del barrio 19.



21.5.06

Tolerancia

Para apoyar los proyectos libres, una consulta en Wikipedia.

Tolerancia

De Wikipedia

La tolerancia, del latín tolerare (sostener, soportar), es una noción que define el grado de aceptación frente a un elemento contrario a una regla moral, civil o física. Más generalmente, define la capacidad de un individuo de aceptar una cosa con la que no está de acuerdo. Y por extensión moderna, la actitud de un individuo frente a lo que es diferente de sus valores.

Georges Clémenceau, a quien un oponente político pedía un poco más de tolerancia, contestó: "¿Tolerancia? Hay casas para ello!" (Esta palabra se atribuye sobre todo a Claudel)

La noción de tolerancia se aplica a numerosos dominios:

  • la tolerancia social: actitud de una persona o de un grupo social ante lo que es diferente de sus valores morales o sus normas;
  • la tolerancia civil: distancia entre las leyes y sus aplicaciones y la impunidad;
  • la tolerancia según Locke: "dejar de combatir aquello que no se puede cambiar";
  • la tolerancia religiosa: atitud ante las confesiones de fe diferentes;
  • la tolerancia técnica: margen de error aceptable, o capacidad de resistencia a una agresión.

20.5.06

Del objetivo a la práctica y al deseo...

Con las intenciones firmes de construir un espacio para compartir y sobretodo para obligarme a avanzar en mis deberes académicos, me doy cuenta que me dan mas ganas de hacer de este espacio, el de “un poco de todo” y presentar los archivos, biblios, etc., en la sitio personal de Internet en vías de construcción ¿para cuando? No lo sé. Pronto, pronto deseosa de reunirme con la colectividad cibernética.

Bueno hagamos de este diario público una invitación cotidiana a la reflexión individual, compartida, un poco osando reencontrar este temor que me invadía y al mismo tiempo me emocionaba cuando escribía en mi cuaderno personal, años ha...

18.5.06

Competencias Tecnológicas

17.5.06

Las nuevas Tecnologías de la Información

Había colocado aqui, una buena parte de lo que constituye mi actual tesis basandome en la anterior, de la Maestría, sin embargo, encontré muchos errores en el formato de las letras, lo estoy corrigiendo y lo pondré en línea brevemente.

...Espero pronto...


Mientras tranto hay una invitación a esta pagina:

http://www.uib.es/depart/gte/revelec1.html

16.5.06

Un poco de poesía



PRIMERA PARTE

I

Déjame reposar,

aflojar los músculos del corazón

y poner a dormitar el alma

para poder hablar,

para poder recordar estos días,

los más largos del tiempo.

Convalecemos de la angustia apenas

y estamos débiles, asustadizos,

despertando dos o tres veces de nuestro escaso sueño

para verte en la noche y saber que respiras.

Necesitamos despertar para estar más despiertos

en esta pesadilla llena de gentes y de ruidos.

Tú eres el tronco invulnerable y nosotros las ramas,

por eso es que este hachazo nos sacude.

Nunca frente a tu muerte nos paramos

a pensar en la muerte,

ni te hemos visto nunca sino como la fuerza y la

alegría.

No lo sabemos bien, pero de pronto llega

un incesante aviso,

una escapada espada de la boca de Dios

que cae y cae y cae lentamente.

Y he aquí que temblamos de miedo,

que nos ahoga el llanto contenido,

que nos aprieta la garganta el miedo.

Nos echamos a andar y no paramos

de andar jamás, después de medianoche,

en ese pasillo del sanatorio silencioso

donde hay una enfermera despierta de ángel.

Esperar que murieras era morir despacio,

estar goteando del tubo de la muerte,

morir poco, a pedazos.

No ha habido hora más larga que cuando no

dormías,

ni túnel más espeso de horror y de miseria

que el que llenaban tus lamentos,

tu pobre cuerpo herido.

II

Del mar, también del mar,

de la tela del mar que nos envuelve,

de los golpes del mar y de su boca,

de su vagina obscura,

de su vómito,

de su pureza tétrica y profunda,

vienen la muerte, Dios, el aguacero

golpeando las persianas,

la noche, el viento.

De la tierra también,

de las raíces agudas de las casas,

del pie desnudo y sangrante de los árboles,

de algunas rocas viejas que no pueden moverse,

de lamentables charcos, ataúdes del agua,

de troncos derribados en que ahora duerme el rayo,

y de la yerba, que es la sombra de las ramas del cielo,

viene Dios, el manco de cien manos,

ciego de tantos ojos,

dulcísimo, impotente.

(Omniausente, lleno de amor,

el viejo sordo, sin hijos,

derrama su corazón en la copa de su vientre.)

De los huesos también,

de la sal más entera de la sangre,

del ácido más fiel,

del alma más profunda y verdadera,

del alimento más entusiasmado,

del hígado y del llanto,

viene el oleaje tenso de la muerte,

el frío sudor de la esperanza,

y viene Dios riendo.

Caminan los libros a la hoguera.

Se levanta el telón: aparece el mar.

(Yo no soy el autor del mar.)

III

Siete caídas sufrió el elote de mi mano

antes de que mi hambre lo encontrara,

siete veces mil veces he muerto

y estoy risueño como en el primer día.

Nadie dirá: no supo de la vida

más que los bueyes, ni menos que las golondrinas.

Yo siempre he sido el hombre, amigo fiel del perro,

hijo de Dios desmemoriado,

hermano del viento.

¡A la chingada las lágrimas!,dije,

y me puse a llorar

como se ponen a parir.

Estoy descalzo, me gusta pisar el agua y las piedras,

las mujeres, el tiempo,

me gusta pisar la yerba que crecerá sobre mi tumba

(si es que tengo una tumba algún día).

Me gusta mi rosal de cera

en el jardín que la noche visita.

Me gustan mis abuelos de Totomoste

y me gustan mis zapatos vacíos

esperándome como el día de mañana.

¡A la chingada la muerte!, dije,

sombra de mi sueño,

perversión de los ángeles,

y me entregué a morir

como una piedra al río,

como un disparo al vuelo de los pájaros.

IV

Vamos a hablar del Príncipe Cáncer,

Señor de los Pulmones, Varón de la Próstata,

que se divierte arrojando dardos

a los ovarios tersos, a las vaginas mustias,

a las ingles multitudinarias.

Mi padre tiene el ganglio más hermoso del cáncer

en la raíz del cuello, sobre la subclavia,

tubérculo del bueno de Dios,

ampolleta de la buena muerte,

y yo mando a la chingada a todos los soles del mundo.

El Señor Cáncer, El Señor Pendejo,

es sólo un instrumento en las manos obscuras

de los dulces personajes que hacen la vida.

En las cuatro gavetas del archivero de madera

guardo los nombres queridos,

la ropa de los fantasmas familiares,

las palabras que rondan

y mis pieles sucesivas.

También están los rostros de algunas mujeres

los ojos amados y solos

y el beso casto del coito.

Y de las gavetas salen mis hijos.

¡Bien haya la sombra del árbol

llegando a la tierra,

porque es la luz que llega!

V

De las nueve de la noche en adelante,

viendo televisión y conversando

estoy esperando la muerte de mi padre.

Desde hace tres meses, esperando.

En el trabajo y en la borrachera,

en la cama sin nadie y en el cuarto de niños,

en su dolor tan lleno y derramado,

su no dormir, su queja y su protesta,

en el tanque de oxígeno y las muelas

del día que amanece, buscando la esperanza.

Mirando su cadáver en los huesos

que es ahora mi padre,

e introduciendo agujas en las escasas venas,

tratando de meterle la vida, de soplarle

en la boca el aire...

(Me avergüenzo de mí hasta los pelos

por tratar de escribir estas cosas.

¡Maldito el que crea que esto es un poema!)

Quiero decir que no soy enfermero,

padrote de la muerte,

orador de panteones, alcahuete,

pinche de Dios, sacerdote de penas.

Quiero decir que a mí me sobre el aire...

VI

Te enterramos ayer.

Ayer te enterramos.

Te echamos tierra ayer.

Quedaste en la tierra ayer.

Estás rodeado de tierra

desde ayer.

Arriba y abajo y a los lados

por tus pies y por tu cabeza

está la tierra desde ayer.

Te metimos en la tierra,

te tapamos con tierra ayer.

Perteneces a la tierra

desde ayer.

Ayer te enterramos

en la tierra, ayer.

VII

Madre generosa

de todos los muertos,

madre tierra, madre,

vagina del frío,

brazos de intemperie,

regazo del viento,

nido de la noche,

madre de la muerte,

recógelo, abrígalo,

desnúdalo, tómalo,

guárdalo, acábalo.

VIII

No podrás morir.

Debajo de la tierra

no podrás morir.

Sin agua y sin aire

no podrás morir.

Sin azúcar, sin leche,

sin frijoles, sin carne,

sin harina, sin higos,

no podrás morir.

Sin mujer y sin hijos

no podrás morir.

Debajo de la vida

no podrás morir.

En tu tanque de tierra

no podrás morir.

En tu caja de muerto

no podrás morir.

En tus venas sin sangre

no podrás morir.

En tu pecho vacío

no podrás morir.

En tu boca sin fuego

no podrás morir.

En tus ojos sin nadie

no podrás morir.

En tu carne sin llanto

no podrás morir.

No podrás morir.

No podrás morir.

No podrás morir.

Enterramos tu traje,

tus zapatos, el cáncer;

no podrás morir.

Tu silencio enterramos.

Tu cuerpo con candados.

Tus canas finas,

tu dolor clausurado.

No podrás morir.

IX

Te fuiste no sé a dónde.

Te espera tu cuarto.

Mi mamá, Juan y Jorge

te estamos esperando.

Nos han dado abrazos

de condolencia, y recibimos

cartas, telegramas, noticias

de que te enterramos,

pero tu nieta más pequeña

te busca en el cuarto,

y todos, sin decirlo,

te estamos esperando.

X

Es un mal sueño largo,

una tonta película de espanto,

un túnel que no acaba

lleno de piedras y de charcos.

¡Qué tiempo éste, maldito,

que revuelve las horas y los años,

el sueño y la conciencia,

el ojo abierto y el morir despacio!

XI

Recién parido en el lecho de la muerte,

criatura de la paz, inmóvil, tierno,

recién niño del sol de rostro negro,

arrullado en la cuna del silencio,

mamando obscuridad, boca vacía,

ojo apagado, corazón desierto.

Pulmón sin aire, niño mío, viejo,

cielo enterrado y manantial aéreo

voy a volverme un llanto subterráneo

para echarte mis ojos en tu pecho.

XII

Morir es retirarse, hacerse a un lado,

ocultarse un momento, estarse quieto,

pasar el aire de una orilla a nado

y estar en todas partes en secreto.

Morir es olvidar, ser olvidado,

refugiarse desnudo en el discreto

calor de Dios, y en su cerrado

puño, crecer igual que un feto.

Morir es encenderse bocabajo

hacia el humo y el hueso y la caliza

y hacerse tierra y tierra con trabajo.

Apagarse es morir, lento y aprisa

tomar la eternidad como a destajo

y repartir el alma en la ceniza.

XIII

Padre mío, señor mío, hermano mío,

amigo de mi alma, tierno y fuerte,

saca tu cuerpo viejo, viejo mío,

saca tu cuerpo de la muerte.

Saca tu corazón igual que un río,

tu frente limpia en que aprendí a quererte,

tu brazo como un árbol en el frío

saca todo tu cuerpo de la muerte.

Amo tus canas, tu mentón austero,

tu boca firme y tu mirada abierta,

tu pecho vasto y sólido y certero.

Estoy llamando, tirándote la puerta.

Parece que yo soy el que me muero:

¡padre mío, despierta!

XIV

No se ha roto ese vaso en que bebiste,

ni la taza, ni el tubo, ni tu plato.

Ni se quemó la cama en que moriste,

ni sacrificamos un gato.

Te sobrevive todo. Todo existe

a pesar de tu muerte y de mi flato.

Parece que la vida nos embiste

igual que el cáncer sobre tu omoplato.

Te enterramos, te lloramos, te morimos,

te estás bien muerto y bien jodido y yermo

mientras pensamos en lo que no hicimos

y queremos tenerte aunque sea enfermo.

Nada de lo que fuiste, fuiste y fuimos

a no ser habitantes de tu infierno.

XV

Papá por treinta o por cuarenta años,

amigo de mi vida todo el tiempo,

protector de mi miedo, brazo mío,

palabra clara, corazón resuelto,

te has muerto cuando menos falta hacías,

cuando más falta me haces, padre, abuelo,

hijo y hermano mío, esponja de mi sangre,

pañuelo de mis ojos, almohada de mi sueño.

Te has muerto y me has matado un poco.

Porque no estás, ya no estaremos nunca

completos, en un sitio, de algún modo.

Algo le falta al mundo, y tú te has puesto

a empobrecerlo más, y a hacer a solas

tus gentes tristes y tu Dios contento.

XVI

(Noviembre 27)

¿Será posible que abras los ojos y nos veas

ahora?

¿Podrás oírnos?

¿Podrás sacar tus manos un momento?

Estamos a tu lado. Es nuestra fiesta,

tu cumpleaños, viejo.

Tu mujer y tus hijos, tus nueras y tus nietos

venimos a abrazarte, todos, viejo.

¡Tienes que estar oyendo!

No vayas a llorar como nosotros

porque tu muerte no es sino un pretexto

para llorar por todos,

por los que están viviendo.

Una pared caída nos separa,

sólo el cuerpo de Dios, sólo su cuerpo.

XVII

Me acostumbré a guardarte, a llevarte lo mismo

que lleva uno su brazo, su cuerpo, su cabeza.

No eras distinto a mí, ni eras lo mismo.

Eras, cuando estoy triste, mi tristeza.

Eras, cuando caía, eras mi abismo,

cuando me levantaba, mi fortaleza.

Eras brisa y sudor y cataclismo,

y eras el pan caliente sobre la mesa.

Amputado de ti, a medias hecho

hombre o sombra de ti, sólo tu hijo,

desmantelada el alma, abierto el pecho,

Ofrezco a tu dolor un crucifijo:

te doy un palo, una piedra, un helecho,

mis hijos y mis días, y me aflijo.

SEGUNDA PARTE

I

Mientras los niños crecen, tú, con todos los muertos,

poco a poco te acabas.

Yo te he ido mirando a través de las noches

por encima del mármol, en tu pequeña casa.

Un día ya sin ojos, sin nariz, sin orejas,

otro día sin garganta,

la piel sobre tu frente agrietándose, hundiéndose,

tronchando obscuramente el trigal de tus canas.

Todo tú sumergido en humedad y gases

haciendo tus desechos, tu desorden, tu alma,

cada vez más igual tu carne que tu traje,

más madera tus huesos y más huesos las tablas.

Tierra mojada donde había tu boca,

aire podrido, luz aniquilada,

el silencio tendido a todo tu tamaño

germinando burbujas bajo las hojas de agua.

(Flores dominicales a dos metros arriba

te quieren pasar besos y no te pasan nada.)

II

Mientras los niños crecen y las horas nos hablan

tú, subterráneamente, lentamente, te apagas.

Lumbre enterrada y sola, pabilo de la sombra,

veta de horror para el que te escarba.

¡Es tan fácil decirte "padre mío"

y es tan difícil encontrarte, larva

de Dios, semilla de esperanza!

Quiero llorar a veces, y no quiero

llorar porque me pasas

como un derrumbe, porque pasas

como un viento tremendo, como un escalofrío

debajo de las sábanas,

como un gusano lento a lo largo del alma.

¡Si sólo se pudiera decir: "papá, cebolla,

polvo, cansancio, nada, nada, nada"

!Si con un trago te tragara!

¡Si con este dolor te apuñalara!

¡Si con este desvelo de memorias

-herida abierta, vómito de sangre-

te agarrara la cara!

Yo sé que tú ni yo,

ni un par de valvas,

ni un becerro de cobre, ni unas alas

sosteniendo la muerte, ni la espuma

en que naufraga el mar, ni -no- las playas,

la arena, la sumisa piedra con viento y agua,

ni el árbol que es abuelo de su sombra,

ni nuestro sol, hijastro de sus ramas,

ni la fruta madura, incandescente,

ni la raíz de perlas y de escamas,

ni tío, ni tu chozno, ni tu hipo,

ni mi locura, y ni tus espaldas,

sabrán del tiempo obscuro que nos corre

desde las venas tibias a las canas.

(Tiempo vacío, ampolla de vinagre,

caracol recordando la resaca.)

He aquí que todo viene, todo pasa,

todo, todo se acaba.

¿Pero tú? ¿pero yo? ¿pero nosotros?

¿para qué levantamos la palabra?

¿de qué sirvió el amor?

¿cuál era la muralla

que detenía la muerte? ¿dónde estaba

el niño negro de tu guarda?

Ángeles degollados puse al pie de tu caja,

y te eché encima tierra, piedras, lágrimas,

para que ya no salgas, para que no salgas.

III

Sigue el mundo su paso, rueda el tiempo

y van y vienen máscaras.

Amanece el dolor un día tras otro,

nos rodeamos de amigos y fantasmas,

parece a veces que un alambre estira

la sangre, que una flor estalla,

que el corazón da frutas, y el cansancio

canta.

Embrocados, bebiendo en la mujer y el trago,

apostando a crecer como las plantas,

fijos, inmóviles, girando

en la invisible llama.

Y mientras tú, el fuerte, el generoso,

el limpio de mentiras y de infamias,

guerrero de la paz, juez de victorias

-cedro del Líbano, robledal de Chiapas-

te ocultas en la tierra, te remontas

a tu raíz obscura y desolada.

IV

Un año o dos o tres,

te da lo mismo.

¿Cuál reloj en la muerte?, ¿qué campana

incesante, silenciosa, llama y llama?

¿qué subterránea voz no pronunciada?

¿qué grito hundido, hundiéndose, infinito

de los dientes atrás, en la garganta

aérea, flotante, pare escamas?

¿Para esto vivir? ¿para sentir prestados

los brazos y las piernas y la cara,

arrendados al hoyo, entretenidos

los jugos en la cáscara?

¿para exprimir los ojos noche

a noche en el temblor obscuro de la cama,

remolino de quietas transparencias,

descendimiento de la náusea?

¿Para esto morir?

¿para inventar el alma,

el vestido de Dios, la eternidad, el agua

del aguacero de la muerte, la esperanza?

¿morir para pescar?

¿para atrapar con su red a la araña?

Estás sobre la playa de algodones

y tu marca de sombras sube y baja.

V

Mi madre sola, en su vejez hundida,

sin dolor y sin lástima,

herida de tu muerte y de tu vida.

Esto dejaste. Su pasión enhiesta,

su celo firme, su labor sombría.

Árbol frutal a un paso de la leña,

su curvo sueño que te resucita.

Esto dejaste. Esto dejaste y no querías.

Pasó el viento. Quedaron de la casa

el pozo abierto y la raíz en ruinas.

Y es en vano llorar. Y si golpeas

las paredes de Dios, y si te arrancas

el pelo o la camisa,

nadie te oye jamás, nadie te mira.

No vuelve nadie, nada. No retorna

el polvo de oro de la vida.

Algo sobre la muerte del Mayor Sabines, 1973