19.1.14

Pierre-Auguste RENOIR. Portrait de deux fillettes 1890 - 1892.

Pierre-Auguste RENOIR (1841 - 1919)

2) Portrait de deux fillettes. 1890 – 1892. Óleo sobre tela.





Pierre-Auguste RENOIR (1841 - 1919)

Pierre-Auguste Renoir dit Auguste Renoir, né à Limoges le 25 février 1841 et mort au domaine des Collettes à Cagnes-sur-Mer le 3 décembre 1919, est l'un des plus célèbres peintres français.

Membre à part entière du groupe impressionniste, il évolue dans les années 1880 vers un style plus réaliste sous l'influence de Raphaël. Il fut peintre de nus, de portraits, paysages, marines, natures mortes et scènes de genre, pastelliste, graveur, lithographe, sculpteur et dessinateur.

Peintre figuratif plus intéressé par la peinture de portraits et le nu féminin que par celle des paysages, il a élaboré une façon de peindre originale, qui transcende ses premières influences (Fragonard, Courbet, Monet, puis la fresque italienne).


Pendant environ soixante ans, il a peint à peu près six mille tableaux
Portrait de deux fillettes (1890 - 1892). Óleo sobre tela.

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Pierre Auguste Renoir dice a Auguste Renoir, nacido Limoges el 25 de febrero de 1841 y muerto al dominio(campo) de Collettes en Cagnes-sur-Mer el 3 de diciembre de 1919, es uno de los pintores más célebres y franceses.

Miembro separado del grupo impresionista, evoluciona en los años 1880 hacia un estilo más realista bajo la influencia de Raphaël. Fue pintor de desnudos, de retratos, paisajes, marinas(soldados de infantería de marina), bodegones y escenas de género, pastelliste, grabador, litógrafo, escultor y dibujante.

Pintor figurativo más interesado en la pintura de retratos y desnudo femenino que por la de los paisajes, elaboró un modo de pintar a personal extravagante, que trasciende sus primeras influencias (Fragonard, Courbet, Monet, luego el fresco italiano).

Durante cerca de sesenta años, pintó más o menos seis mil cuadros.


Claude MONET. Argenteuil. 1875


Los treinta cuadros del Museo de l'Orangerie de París, que se presentan en el Museo Dolores Olmedo hasta el 19 de enero del 2014.

1) Claude Monet. Nace el 14 de noviembre de 1840 en París, fallece el 5 de diciembre de 1926 en Giverny. Fue uno de los fundadores de la pintura impresionista.

Se presenta el cuadro:
Argenteuil, 1875.



 http://www.musee-orangerie.fr/pages/page_id19225_u1l2.htm

En décembre 1871, Monet s’installe à Argenteuil avec sa famille. Cette ville située au nord ouest de Paris sur l’un des méandres de la Seine était devenue un des lieux de détente favori des plaisanciers, amateurs de voile ou de canotage. Elle était alors réputée pour ses régates depuis qu’elle avait été choisie en 1867 comme lieu de compétitions internationales lors de l’Exposition Universelle. Monet y est très vite rejoint par ses camarades : Renoir, Sisley et leur aîné Manet. Il y résidera jusqu’en 1876. 

Vers 1875, Monet peint une série de vues de voiliers au mouillage sur le bassin d’Argenteuil. Seul le cadrage et la disposition des bateaux varient d’un toile à l’autre. Dans la version de l’Orangerie les coques rouges vermillon sont mises en vedette au centre de la composition. Elles forment un contraste éclatant avec le bleu complémentaire du ciel et de l’eau et le vert de la végétation flottant à la surface de la Seine. Le tout est ponctué par les touches blanches des voiles et par celles outremer des coques de gauche et du miroitement de la rivière. Le ciel et la surface de l’eau sont prétexte à l’étude des reflets lumineux. La touche est beaucoup plus fractionnée que dans le célèbre « Régates à Argenteuil » du musée d’Orsay peint trois ans plus tôt. Les lignes verticales des mats rythment et structurent la composition. La perspective n’est pas absolument fidèle aux règles traditionnelles. Au lieu de converger vers un point de fuite unique, elle semble diverger vers deux points de fuite à droite et à gauche des bateaux. 

Par rapport aux peintures des années précédentes qui restaient relativement plus réalistes, cette version exalte le caractère bucolique du site. Monet élimine tout signe de modernisation. Les cheminées d’usine bien visibles dans certaines vues du port d’Argenteuil sont ici totalement effacées. 

Par son thème, sa technique, l’éclat des couleurs cette œuvre est tout à fait représentative de l’impressionnisme à son apogée.

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Por cuestiones de tiempo me permito usar un traductor, disculpen, si no está excelente:
 
En diciembre de 1871, Monet se instala en Argenteuil con su familia. Esta ciudad situada en el norte occidental de París sobre uno de los meandros del Sena se había hecho una de los lugares de descanso favorito de los deportistas náuticos, los aficionados de la vela o de canotaje. Entonces era famosa por sus regatas desde que había sido escogida en 1867 como lugar de competiciones internacionales en el momento de la Exposición Universal.

Monet es muy rápidamente reunido allí por sus compañeros: Renoir, Sisley y su hijo mayor Manet. Residirá allí hasta 1876.

Hacia 1875, Monet pinta una serie de vistas de veleros al remojo sobre el estanque de Argenteuil. Sólo el enfoque y la disposición de los barcos varían de tela(lienzo) a la otra. En la versión del Invernadero los cascos(cáscaras) rojos bermellón son puestos en primer plano en el centro de la composición. Forman un contraste que estalla con azul complementario del cielo y del agua y el verde de la vegetación que flota en la superficie del Sena. Todo es puntuado(subrayado) por las teclas blancas velos(velas) y por los azul de ultramar de los cascos(cáscaras) de izquierda y del brillo del río. El cielo y la superficie del agua son pretexta al estudio de los reflejos luminosos. La tecla es mucho más fraccionada que en el célebre " Regatas en Argenteuil " del museo de Orsay pintado tres años antes. Las líneas verticales de los mates ritman y estructuran la composición. La perspectiva no es absolutamente fiel a las reglas tradicionales. En lugar de converger hacia un punto accidental único, parece divergir hacia dos puntos accidentales a la derecha y a la izquierda de los barcos.
Con relación a las pinturas de los años precedentes que quedaban relativamente más realistas, esta versión exalta el carácter bucólico del sitio. Monet elimina todo signo de modernización. Las chimeneas muy visibles de fábrica en ciertas vistas del puerto de Argenteuil son totalmente borradas aquí.
Por su tema, su técnica, el pedazo de los colores esta obra es completamente representativa del impresionismo a su apogeo.

Claude MONET (1840-1926)


Claude Monet est né à Paris le 14 novembre 1840 au 45, rue Laffitte dans le IXe arrondissement. Il est le second fils d’Adolphe et Louise-Justine Monet, née Aubrée, après Léon Pascal, dit Léon (1836–1917). Baptisé sous le nom d’Oscar-Claude à Notre-Dame de Lorette début 1841, il est appelé Oscar par ses parents. Il aime à dire plus tard qu’il est un vrai Parisien. Ses parents sont tous deux nés à Paris, tandis que ses grands-parents y étaient déjà installés aux environs de 1800. La famille, grands-parents paternels compris, s’installe au Havre en Normandie vers 1845, l'année de ses cinq ans. C'est probablement un déménagement décidé sous l’influence de sa tante Marie-Jeanne Lecadre, épouse d'un commerçant havrais qui accueille son beau-frère dans sa maison. Son père y tenait un commerce d'articles coloniaux.

Le jeune Oscar n’est pas un élève très appliqué selon ses propres dires, mais il apparaît dans les annales du collège havrais rue de la Mailleraye, qu’il fréquente à partir du 1er avril 1851 comme « une excellente nature très sympathique à ses condisciples ». De manière précoce, il développe un goût pour le dessin et il suit avec intérêt le cours d’Ochard, un ancien élève de David. Ses premiers dessins sont des caricatures (appelées « portraits-charges ») de personnages (professeurs, hommes politiques) dont Monet « enguirlande la marge de ses livres... en déformant le plus possible la face ou le profil de ses maîtres » selon ses propres termes. Il fait déjà des croquis de bateau et des paysages en « plein air » sur le motif.

Le 28 janvier 1857, sa mère décède et il abandonne ses études. Sa tante Lecadre, qui elle-même peint à ses heures perdues, l’accueille et l’encourage à continuer le dessin. Il vend ses caricatures signées « O. Monet » chez un commerçant spécialisé dans le matériel pour peintres, Gravier papetier, où expose également Eugène Boudin, ancien associé du propriétaire. C’est là qu’il va faire sa connaissance, vraisemblablement début 1858, déterminante pour sa carrière artistique : « Si je suis devenu un peintre, c’est à Eugène Boudin que je le dois ». Monet commence à peindre ses premières toiles de paysages en été 1858. Boudin conseille alors à son jeune comparse à quitter Le Havre pour Paris dans le but d'y prendre des cours et d'y rencontrer d'autres artistes.

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Claude Monet nació en París el 14 de noviembre de 1840 al 45, rue Laffitte en el IX distrito. Es el segundo hijo de Adolphe y Louise-Justine Monet, nacida Aubrée, después de León Pascal, dice León (1836-1917). Bautizado bajo el nombre de Oscar-Claude en Notre-Dame de Loreto a principios de 1841, es llamado Oskar por sus parientes(padres). Le gusta decir más tarde que es una verdad Parisina. Sus parientes(padres) ambos nacieron en París, mientras que sus abuelos estuvieron ya instalados allí en las afueras de 1800. La familia, los abuelos paternales comprendidos, se instala en el Havre en Normandía hacia 1845, el año de sus cinco años. Probablemente es una mudanza decidida bajo la influencia de su tía Marie-Jeanne Lecadre, esposa de un comerciante havrés que acoge a su cuñado en su casa. Su padre lo apreciaba un comercio de artículos coloniales.

El joven Oskar no es un alumno muy aplicado según sus propias declaraciones, sino aparece en los anales del colegio havrés cocea de Mailleraye, que frecuenta a partir del 1 de abril de 1851 " como una naturaleza excelente y muy simpática a sus condiscípulos ". De manera precoz, desarrolla un gusto por el dibujo y sigue con interés el curso de Ochard, un antiguo alumno de David. Sus primeros dibujos son unas caricaturas (llamadas "retratos-cargas(-gastos)") de personajes (profesores, hombres políticos) a quienes Monet " enguirnalda el margen de sus libros(libras) deformando el más posible la cara o el perfil de sus dueños " según sus propios términos. Ya hace unos bosquejos de barco y paisajes en "aire libre" sobre el motivo.

El 28 de enero de 1857, su madre fallece y abandona sus estudios. Su tía Lecadre, que misma pinta a sus horas perdidas, le acoge y le anima a continuar el dibujo. Vende sus caricaturas firmadas " O. Monet " en casa de un comerciante especializado en el material para pintores, Grava papelera, donde también expone Eugenio Boudin, antiguo socio del propietario. Es alla dónde va a conocer, probablemente a principios de 1858, determinante para su carrera artística: " si me hice un pintor, es a Eugenio Boudin que le debo ". Monet comienza a pintar sus primeras telas(lienzos) de paisajes en verano de 1858. Morcilla le aconseja entonces a su joven comparsa dejar El Havre para París con el fin de tomar allí cursos y de encontrar allí a otros artistas.

14.1.14

Treinta cuadros del Museo de l'Orangerie en el Dolores Olmedo

He disfrutado enormemente, los 30 cuadros del Museo de l'Orangerie de París, son los últimos días en el Museo Dolores Olmedo. Si, hay mucha gente, algunos han hecho fila de 2hrs 30 minutos, pero bien vale la pena, realmente hay al menos cinco cuadros que me sorprenden, también ha sido un placer que un chico de preparatoria al ver que hacía mis anotaciones en una libretita, me hizo casi una mini entrevista frente a un cuadro de Cezanne: - se ve qué usted sabe. He estado observando que toma muchas notas. ¿Qué debo entender por Arte? ¿Qué me debe de hacer sentir este cuadro? Y bien... fue mi oportunidad para expresar y transmitir algo de lo que mi extraordinario profesor de Historia del Arte me hizo comprender, durante cuatro años de seminarios. Qué placer y qué suerte de que se presenten en México. Vayan, vayan!!

A continuación les presentaré una breve reseña de los treinta cuadros de la exposición, si acaso piensan ir, entonces no me lean hasta asistir, tal vez. Pues no quiero influenciar su sentido estético, eso si, se trata de una interpretación completamente libre de lo que su servidora apreció.

13.1.14

Un fallecido en Antunez

Cito a la policía comunitaria de Tepalcatepec:
Que dios lo tenga en su santa gloria a nuestro hermano caído, murió luchando por la libertad de su pueblo en manos de unos cobardes militares que no están a favor de la justicia ni del pueblo que juró proteger y van a pagar lo que hicieron, esto paso en Antunes cuando los bloquearon civiles desarmados los muy cobardes les dispararon al parecer venían borrachos los soldados hay pruebas que traían alcohol en distintas botellas varios grabaron toda la situación, a los soldados ya los desarmó el apoyo del pueblo, desconocemos la cantidad de muertos y heridos se habla de una niña y un joven no sabemos con certeza hasta mas adelante.

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Qué tristeza que el ejército no sepa negociar con el pueblo!! Valientes estos hombres que a falta de control del estado, decidieron protegerse, esperemos que no se derrame mucha sangre, ánimo y apoyo a la gente de a pie.

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Las autodefensas se pronuncian en Michoacán

De Valor Por Michoacán SDR A los medios de información , opinión publica y pueblo en general; CONCEJO DE AUTODEFENSAS UNIDAS DE MICHOACANA Las autodefensas no dejaremos las armas y que diga lo que quiera Mireles , Mireles NO ESTA EN MICHOACAN , esta resguardado por el estado mayor presidencial , siempre estuvo resguardado por EL ESTADO MAYOR PRESIDENCIAL EN UN HOSPITAL MILITAR EN LA CIUDAD DE MÉXICO Nosotros estamos en la guerra , emanamos un mensaje a todos nuestros comunitarios NO VAMOS A DEJAR LAS ARMAS AUNQUE MIRELES LO HAYA COMUNICADO REPETIMOS NO VAMOS A DEJAR LAS ARMAS , ESTAMOS EN PIE DE GUERRA COMUNITARIOS DE CADA MUNICIPIO PASEN LA CADENA , COMPARTE EN CADA PORTAL DE NOTICIAS ESTE MENSAJE ES EMANADO POR EL CONCEJO DE AUTODEFENSAS UNIDAS Firmes todos los comunitarios en cada uno de los fortines Repito no dejaremos las armas.

Este es su facebook:
https://www.facebook.com/ValorPorMichoacan

11.1.14

Homenaje a los Campiranos del Sur, Museo Nacional de Antropología, 2013.

Homenaje a los músicos los Campiranos del Sur: Elías Gamiño García, Miguel Gamiño Gutiérrez y Celso López Gallegos, del Platanillo, municipio de Tzitzio, Michoacán. En el cuadro del IX foro de Música Tradicional en el Museo Nacional de Antropología e Historia. Octubre 5 del 2013.


Grupo Purépecha de Charapan, Museo Nacional de Antropología, 2013.

Grupo Purépecha de Charapan. IX Foro Internacional de Música Tradicional. Octubre 5 del 2013. Museo Nacional de Antropología e Historia. Distrito Federal. México. 


XII Encuentro de Mariachi Tradicional en Guadalajara, afuera del Degollado

En el XII Encuentro de Mariachi Tradicional en Guadalajara, algunas agrupaciones no pudieron tocar. Los músicos se organizaron para tocar y zapatear, a un costado del Teatro Degollado. Septiembre 8 del 2013.



Fandango. El ritual del mundo jarocho a través de los siglos y sobre orquestas típicas urbanas del S. XIX

.. En el transcurso del siglo XIX antes y después de la Independencia, lo que definitivamente marcó el panorama musical mexicano fue la llegada de una poderosa "promoción europea", expresada en los salones de baile y en los teatros. Esta música se difundirá por todo el país, influyendo en los compositores y los intérpretes, y a su turno llegará a las clases populares para ser regionalmente adaptada. En el terreno más amplio de la interpretación instrumental estos procesos se acompañaron desde un principio de una "emancipación de la música", en el sentido de que ésta escapó de sus originales contextos rituales y oficiales, para adaptarse a los nuevos mercados de consumidores. Por un lado se operó un inmenso proceso de popularización que tuvo por escenario los salones de baile, y, por el otro, se dio una separación del ejecutamte con relación al público, emergiendo los conciertos, en dónde éste escuchaba en silencio.

Fuente:
Fandango. El ritual del mundo jarocho a través de los siglos
Antonio García de León. P.15.

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.. En la efervescencia de la época, los antiguos corrales de comedias, que se remontan a los inicios de la vida colonial, se transformaron el coliseos y teatros, a los que llegaron las compañías gatadinas, que habían establecido el circuito de cantinas, actores y cómicos bufos cuyos itinerarios seguían la ruta Cádiz-La Habana-Nueva Orleans-Veracruz-Puebla-México, trayendo las últimas novedades de Europa y el Caribe: las danzas y chungas andaluzas, los minuetes, las contradanzas caribeñas, los puntos y habaneras, el teatro bufo, etc. Sus influencias se mezclaron aquí con los sones de la tierra, y alimentaron la vieja tradición de la tonadilla escénica, que hasta ahora está encallada en muchos de los estribillos y motivos del son, desde Nuevo México hasta Yucatán. Y es que para esa época, Cádiz se había convertido en el eje der comercio español hacia América española, convirtiendo al teatro en un agente mediador entre la cultura popular americana y la tradición "culta" europea. Así la tonadilla siguió alimentando las diversiones sociales, que se convirtieron después en las "tradicionales",dejando una profunda huella de folclor. Esta presencia, con relación a la música marcó también las preferencias instrumentales, pues las orquestas que acompañabana a esas tonadillas escénicas estaban compuestas casi siempre de cinco violines, dos trompas, dos oboes, un fagot y un contrabajo, y si lo vemos en perspectiva, de alguna manera prefiguraron orquestaciones que posaron al campo y a la providencia, a las tradiciones posteriores del mariachi y a algunas bases instrumentales de las orquestas "típicas urbanas" del XIX.

Fandango. El ritual del mundo jarocho a través de los siglos. Antonio García de León. P. 16.